Concours-Internet transnational «Maya». Vidéos, photos, affiches, dessins contre la toxicomanie et l'alcoolisme

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Lydia Timofeeva

Lydia Timofeeva

Lydia Timofeeva

Le directeur adjoint de la chaire de la politologie et de la direction politique du travail d`études et méthodique de l'Académie russe, Russie

Les questions

  • Les médecins tâchent de ne pas dire «les toxicomanes guérissants», mais plutôt «les toxicomanes inactifs» qui n'utilisent pas les drogues pour le moment. Est-ce que la personne ne pourra pas jamais se délivrer de cette étiquette dans la société moderne? Même selon des toxicologues la grande partie de leurs patients restent les toxicomanes pour toujours. Comment apprendre la société moderne à se rapporter adéquatement aux anciens toxicomanes, à les trouver comme les membres à valeur requise?

    Il est nécessaire de passer les campagnes graduées de l'inoculation à la population de la relation tolérante chez les anciens toxicomanes. La tolérance ne signifie pas la tolérance, et donc la compréhension de ce qu'il y a des autres gens, avec l'autre histoire, ayant le même droit au respect, la dignité, comme toi.
     

  • Quel rôle jouent l'éducation parentale et les relations à l'intérieur de la famille dans la prophylaxie de la toxicomanie?

    La réponse est évidente. Sans attention constante parentale, l'exemple personnel des parents incitant vers le mode de vie sain, la prophylaxie de la toxicomanie est impossible. 

  • Quelles doivent être les méthodes de la lutte d'information contre la toxicomanie au siècle d'Internet et de la croissance des communautés de réseau ? Comment vous pensez, quel moyen sera plus effectif aujourd'hui, et comment doit se comporter l'État pour influencer les malades toxicomanes avec succès et faire la prophylaxie parmi la population saine?

    L'appel aux drogues a, évidemment, de diverses raisons. Excepté ceux qui sont argumentés par l'assistance médicale nécessaire aux gens incurables souffrant difficilement, partant de la vie, toutes les autres raisons doivent etre interrompues par la société. L'utilisation des drogues ne doit pas devenir la norme du foyer humain quand même parce que cela prive la personne par la suite le droit du choix, la liberté, en faisant son esclave et la victime de cette partialité. C'est pourquoi dès le bas âge devant l'enfant il y avoir des possibilités pour son développement, excepté la captivité narcotique.

    Commencer la lutte contre les drogues il faut de l'assainissement des sphères publiques et familiales du socium. Il s'agit de l'emploi général des enfants et des adolescents par le système des organisations d'enfant et de la jeunesse publiques amateures, les clubs de toute sorte selon les intérêts, le réseau des autres sections sportives, touristiques du domicile, aux écoles, aux palais et dans les maisons de l'oeuvre des jeunes. À tout cela ils doivent être gratuits. C`est l'État qui doit charger de ce soin. À ce sens l'Union Soviétique possédait l'expérience absolument précieuse. L'expérience de l'organisation du repos bon marché familial et l'étude commune des enfants et des adultes à d'utilité publique, ou les actions développant sont intéressants. 

    Quant à l`Internet et les réseaux sociaux, ici il y a beaucoup de possibilités pour l'influence créative. Cela demande la discussion spéciale. 


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