Alexandre Zelichenko
Les questions
-
Les médecins tâchent de ne pas dire «les toxicomanes guérissants», mais plutôt «les toxicomanes inactifs» qui n'utilisent pas les drogues pour le moment. Est-ce que la personne ne pourra pas jamais se délivrer de cette étiquette dans la société moderne? Même selon des toxicologues la grande partie de leurs patients restent les toxicomanes pour toujours. Comment apprendre la société moderne à se rapporter adéquatement aux anciens toxicomanes, à les trouver comme les membres à valeur requise?
Aujourd'hui nous utilisons les mesures, permettant de retirer le stigma et la discrimination des narcodépendants. En plusieurs cas les programmes de la réduction du danger de la narcoconsommation les favorisent. Par exemple, au Kirghizstan dans quelque mesure on réussit à changer la relation de la population aux narcomalades, faire les gens plus tolérants envers les narcodépendants. Ce qui est particulièrement important, on a réussi à obtenir cela chez les travailleurs des structures de mantien de l'ordre.
Il est important de fixer cette relation, développer les programmes sociaux et psychologiques avec la population, ainsi qu'avec les consommateurs eux-mêmes des drogues, qui ont décidé de "arreter". Pas chaque État peut leur donner le travail, le logement social. Je suis sûr cependant, nous devons donner aux gens la chance. Je connais personnellement les gens, qui ont vaincu la toxicomanie, sont revenus au socium, ont créé les familles, élevent les enfants.
«L`espoir meurt le dernier» … -
L'oeuvre peut-elle se trouver l'alternative aux drogues?
C`est pas moi qui ai inventé cela, mais je suis d`accord avec cette énonciation que dans n'importe quelle personne est assis le créateur, qu'il faut le trouver simplement. Si on pourrait reconnaître cela et développer, si on donnait à la personne la main, dirigeait selon la trajectoire juste pour lui, on résoudrait très plusieurs problèmes. Par exemple, si au lieu de l'alcool, de la violence, des drogues on donne comme le moyen de l'autoexpression, par exemple, le saxophone, le tube ou le pinceau et la toile, la possibilité de la société saine à valeur requise augmenterait beaucoup.
-
Quel rôle jouent l'éducation parentale et les relations à l'intérieur de la famille dans la prophylaxie de la toxicomanie?
La famille, probablement, joue le plus important rôle pour la personne. Nous prendrons comme exemple l`Europe. Le procès de la mondialisation a apporté les correctifs. La jeunesse part tôt de la famille, aspire à vivre séparément des parents, part de dessous de leur influence. Cela peut apporter la masse des problèmes, mais il faut être considéré avec cela.
Maintenant, la compréhension que le népotisme, les valeurs familiales sont un gage du futur sain de n'importe quelle nation. Depuis peu de temps les Polonais, par exemple, ont retiré une série des roulettes sociales sous le slogan commun «plus près l'un à l'autre – plus loin des drogues». Ces roulettes présentent très évidemment, autant l'attention parentale et la compréhension mutuelle dans la famille sont importants. L'enfant doit sentir et connaître que peut venir aux parents avec n'importe quels problèmes, et sera compris par ceux-ci. Particulièrement pendant la maturation de l'enfant.
-
Quelles doivent être les méthodes de la lutte d'information contre la toxicomanie au siècle d'Internet et de la croissance des communautés de réseau ? Comment vous pensez, quel moyen sera plus effectif aujourd'hui, et comment doit se comporter l'État pour influencer les malades toxicomanes avec succès et faire la prophylaxie parmi la population saine?
Je commencerai par l'inverse. De ce qu'à mon avis il est temps d'exclure. On n`a pas besoin des horreurs, comme si tu consomme les drogues, à l`age de 50 ans tu auras l'impuissance. Aujourd'hui il a 15 ans, et la jeunesse vit aujourd'hui. Ces dernières années le document de telle sorte a envahi les sources toutes possibles tellement que cela a cessé d'agir. Il faut miser maintenant sur ce qu'est inhérent à l'époque d`Internet – sur quoi la jeunesse réagit. Nous dirons, les roulettes sociales. Cela qu'est utilisé maintenant par nous et ce qu'a l'effet. Par exemple, une telle roulette : nous demandons chez le répondant-populaire du jeune chanteur: «Qu'est-ce que c'est le flip ?». Il explique : «Le flip pour moi, quand je exécuterai magnifiquement le parti comme le soliste. De cela je reçois le flip» etc. Cela doit être court, n'est pas serré et vif. Dans le XXI siècle les cours ennuyeux sur le danger de la toxicomanie n'ont plus le sens.
La prophylaxie antidrogue ne doit pas être importune, provoquer la répugnance. En même temps elle doit être à la portée plus, s'être passé plus largement. En Europe les technologies avancées ont pris tous les espaces. Mais en effet, les tiers mondes existent encore, où l'ordinateur est un luxe inadmissible pour l'habitant ordinaire, par contre le nombre des narcomalades augmente. Dans ce cas il est nécessaire de chercher des autres méthodes de l'influence.