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Didier Reynders

Didier Reynders

Didier Reynders

Vice-premier ministre, ministre des affaires étrangères, commerce extérieur et des affaires européennes, Belgique

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Didier Reynders restera (MR) vice-premier ministre, ministre des Finances et ministre des Réformes institutionnelles dans le gouvernement Leterme Ier.

 

Devenu vice-premier ministre et ministre des Finances et des Réformes institutionnelles (tout comme Yves Leterme) dans le gouvernement intérimaire, il est ministre des Finances depuis 1999 et vice-premier ministre depuis 2004.

 

Né à Liège le 6 août 1958, il est licencié en droit de l'Université de Liège. Il a débuté sa carrière politique en assumant, entre mars 1987 et mai 1988, le poste de chef de cabinet de Jean Gol alors vice-premier ministre et ministre de la Justice.

 

Il est ensuite devenu président du Conseil d'administration de la SNCB d'octobre 1986 à août 1991. Agé alors de 28 ans, il a notamment mené avec l'administrateur-délégué Etienne Schouppe un vaste plan de restructuration et d'assainissement des chemins de fer en 1987-1988, successivement sous la tutelle des ministres Herman De Croo (PVV) et Jean-Luc Dehaene (CVP). En 1991, il est devenu président de la Régie des voies aériennes (RVA).

 

Son parti ayant rejoint l'opposition, il s'est retrouvé sur les bancs de la Chambre où il a été élu pour la première fois en 1993.

 

Après la mort de Jean Gol dont il était considéré comme le "dauphin", il est devenu chef de groupe à la Chambre.

 

En 1999, il est devenu ministre des Finances. A ce poste, il s'est surtout fait connaître par la réforme fiscale du gouvernement arc-en-ciel et par le passage à l'euro qu'il a piloté en tant que président de l'Eurogroupe.

 

Retrouvant son portefeuille des Finances en 2003, son deuxième mandat à ce poste a été marqué notamment par la poursuite de la réforme fiscale et l'instauration de la Déclaration libératoire unique (DLU). Il a profité en 2004 du départ de Louis Michel à l'Europe pour devenir vice-premier ministre. Au sein de son parti, il conquiert la présidence le 11 octobre 2004.

 

Après une législature marquée notamment par la promotion des intérêts notionnels, un de ses chevaux de bataille même sur la scène internationale, il se lance dans la campagne électorale de 2007 en adoptant un ton résolument offensif par rapport au PS, faisant au final perdre à celui-ci son leadership en Wallonie comme à Bruxelles.

 

Cette victoire, malgré la défaite en Flandre de Guy Verhofstadt et de l'Open VLD, permet aux libéraux de devenir, à la Chambre, la famille politique la mieux représentée. D'aucuns le voient alors potentiel premier ministre.

 

Didier Reynders est le premier, au lendemain des élections, à évoquer la possibilité d'un gouvernement orange-bleu. Nommé informateur par le Roi, il cède le relais à Jean-Luc Dehaene avant l'entrée en piste d'Yves Leterme.

 

Avant d'entrer en politique, M. Reynders avait débuté sa carrière par un parcours académique en étant élève-assistant du professeur François Perin à l'ULG d'octobre 1979 à mai 1982 ainsi que chargé de recherche au centre interuniversitaire de droit public de février 1982 à janvier 1983. Il a aussi été avocat au barreau de Liège entre 1981 et 1985. Il a fait ses premiers pas politiques à Liège en étant élu conseiller communal de la ville en octobre 1988, un siège qu'il occupe sans interruption depuis lors. Il est aussi chargé de cours aux Hautes études commerciales de Liège.

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